De tristes statistiques montrent que la mer Méditerranée est l’océan le plus pollué de la planète. Trafic maritime, urbanisation, industries polluantes, tourisme de masse, gestion inadéquate des déchets, etc. Bien qu’elle soit la destination touristique la plus populaire au monde, la Méditerranée connaît actuellement de graves difficultés. C’est maintenant qu’il faut agir. En attendant, les initiatives pour sauver la Méditerranée se multiplient à mesure que les gens prennent conscience.

Utiliser un robot méduse pour ramasser les déchets : est-ce efficace ?

Cette crapule ne pique même pas ses victimes. Vous pouvez en savoir plus en consultant le lien https://www.mariefrance.fr/actualite/societe/jean-bernard-lafonta-sengage-dans-la-preservation-de-la-mediterranee-avec-le-groupe-hld-690095.html.

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C’est tout à fait normal puisqu’il s’agit d’un appareil électronique ! Le « Jellyfishbot » est un petit robot télécommandé fabriqué pour l’occasion. Son rôle est de nettoyer les déchets flottant dans les ports en se faufilant entre les bateaux.

Avec son réservoir de 80 litres, il peut traiter 1 000 pieds carrés (ou 102 mètres carrés) en une heure seulement. En outre, ses minuscules « lingettes » absorbent les hydrocarbures flottant à la surface de l’eau.

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Actuellement, les concepteurs travaillent sur une version entièrement autonome de son robot balayeur. Les ports de Marseille et de Cassis font partie des nombreux ports qui ont adopté le Jellyfishbot.

Utiliser un bateau de sauvetage électrique pour sauver les cachalots : bonne ou mauvaise idée ?

La Méditerranée voit passer 120 000 tonnes de marchandises chaque année. C’est beaucoup de trafic, et cela perturbe la vie marine, notamment les cachalots, qui vivent dans ces profondeurs.

Dès que ces monstres marins remontent à la surface, ils constituent une menace pour les navires qui passent. Les accidents ne sont pas fréquents, mais lorsqu’ils se produisent, ils peuvent avoir des effets dévastateurs sur les cachalots.

Des entreprises françaises ont mis au point un drone marin spécialement conçu pour observer ces baleines sans les déranger. Complètement autonome et alimenté par l’électricité, le drone mesure 17 mètres de long et suit les cachalots à distance pour les écouter.

Les chercheurs pourront utiliser les quantités massives de données collectées pour mieux comprendre leurs habitudes et, espérons-le, prévenir de futures mésaventures.